• La bactérie, un tréponème, se transmet très facilement, en l'absence de protection ( le préservatif toujours!), par pénétration ou fellation.


    La colonisation des organes sexuels, de l'anus et de la bouche se traduit trois semaines après la contamination, par un chancre, une sorte d'ulcération " propre" - rosée, indolore, à fond lisse-accompagné d'un ganglion dans l'aine ( petite grosseur).



    Une syphilis passe souvent inaperçue, le chancre guérissant spontanément. Or, elle peut s'aggraver en l'absence de traitement puisque le tréponème persiste dans l'organisme. Dans les 3 à 12 mois, survient en effet une syphilis secondaire, qui prend la forme d'éruptions variées sur la peau.



    A ce stade, la maladie est toujours transmissible. Elle rend aussi plus facile la contamination par le virus du sida. Le traitement, à base de pénicilline est rapide et parfaitement efficace.
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  • Sûrement pas! Certains microbes ( tréponème, herpès ou papillomavirus) peuvent naviguer dans ce fluide qu'est la salive aussi facilement que les sécrétions vaginales...
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  • Une certitude: le risque de grossesse ( non désirée) existe dès les premières règles, même irrégulières, et dès le premier rapport. Pour contrer ce risque, plusieurs possibilités. Le meilleur choix? Celui qui vous convient, à votre mode de vie à l'instant "t", selon votre histoire personnelle ( tabac) et familiale ( de thrombose veineuse ou artérielle), celui que vous supportez bien, et que vous n'oubliez pas...



    Les contraceptifs sont pour la plupart hormonaux, souvent une association d'un oestrogène et d'un progestatif ( le lévonorgestrel en première intention). C'est ici le progestatif qui joue le rôle principal ( contraceptif), l'oestrogène ( minidose) assurant la régularité des " règles"-qui n'en sont plus tout à fait, plutôt des " hémorragies de privation", puisque l'ovulation est bloquée. Ils sont proposés sous forme de pilule, de patch ou d'anneau.




    Pour ces deux dernières formes, le progestatif est  de 3 ème génération et autorisé une fois seulement évacués les risques personnels de problèmes veineux. Deuxième possibilité, les progestatifs uniquement, sous forme de pilule ou d'implant ( qui reste en place pour trois ans); ils sont plus contraignants pour la régularité des saignements ou, concernant la pilule, les horaires de prise.



    Enfin, indiquée à l'adolescence aussi, les dispositifs intra-utérins au cuivre ou hormonaux ( ce que l'on sait peu), et surtout les préservatifs masculins ou féminins, qui sont les seuls à protéger aussi contre les IST.

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