• Comment aider nos petits bouts?
    Comme chez les adultes, la fréquence des selles varies d'un enfant à l'autre selon son âge. Par exemple, un nourrisson produit au moins une selle par jour tandis qu'un enfant plus grand fait en moyenne trois selles de consistance " normale" par semaine...ni dure,ni liquide.

    On peut ainsi parler de constipation lorsqu'un enfant de plus de quatre ans va à la selle moins de trois fois par semaine, que les selles sont petites, dures, ou que leur évacuation est difficile.

    Des boissons oui mais pas sucrée!


    Certaines des mesures recommandées par la (SNFCP) suffisent souvent à rétablir un transit normal. Augmentation de l'hydratation...à l'aide de boissons non sucrées, bouillons de légumes; eaux riches en minéraux en particulier en magnésium dont l'efficacité laxative est prouvée; un verre par jour de vrai jus de fruits ( sans sucre ajouté dont orange,pomme,prune...).


    Afin de réduire les effets indésirables de type ballonnements et inconfort digestif...on accroît l'apport quotidien en fibres,pain semi complet puis complet, biscuit au son, légumes verts et fruits non farineux.

    On peut aussi recourir à une " supplémentation diététique". On diminue la consommation des aliments constipant : carottes, riz, sucreries. L'enfant peut aussi redouté les endroit impropre à ses besoins, toilettes sales, bruyant, peu rassurant.

    Un petit conseil pour le rassuré: lui dire d'écouter son corps et ses besoins. A la maison, on peut équipé les toilettes d'un petit tabouret afin de respecté un angle de 35° entre les jambes et le tronc ce qui équilibre le rectum.

    Si cela persiste mieux vaut consulter le médecin pourra conseiller ce qu'il faut pour l'enfant.
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  • Son architecture complexe la rend à la fois flexible et vulnérable. Indispensable dans la plupart des actes quotidiens, elle est prédestinée à être frappée par les troubles musculo-squelettiques ( TMS) et les rhumatismes, la répétition du geste créant la pathologie.

    Plus d'un million de personnes souffrent chaque année de douleurs articulaires dans les mains, du poignet jusqu'au bout des doigts. Plusieurs diagnostiques sont possibles.

    Les fourmillements du "Canal Carpien"
    Comme une décharge électrique, des picotements dans les doigts
    réveillent la nuit. Pour les faire passer, on secoue la main...Tels sont les premiers symptômes du syndrome du canal carpien.

    Le nerf médian comprimé au niveau du poignet entraîne des troubles  de la sensibilité, un engourdissement dans les phalanges du pouce, de l'index, du majeur, une fonte musculaire. Il est alors difficile de se servir de la main, parfois gonflée.

    Le syndrome du canal carpien est fréquent chez la femme ménopausée. Il dépend aussi de l'activité professionnelle. Les gestes répétitifs, une mauvaise position du poignet sur le clavier, les travaux de force favorisent sa survenue tout comme certaines maladies épaississant les tendons ( hyperthyroïdie, diabète, polyarthrite) sans que l'on sache pourquoi.

     Des infiltrations de corticoïdes sont réalisés en première intention. Si cela ne suffit pas à faire passer la pression, une chirurgie simple par voie endoscopique ouvre le ligament qui ferme le canal carpien pour libérer le nerf comprimé dans le poignet. Une fois opéré, aucune récidive.
    (Pas si sûre, opéré depuis plusieurs années, mes doigts s'engourdissent de nouveau, alors...canal ou pas? cela reste à voir.).
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  • Les femmes répugnent à dire à leur médecin qu'elles ont des fuites incontrôlables. Pourtant, mieux vaut ne pas attendre pour s'en préoccuper. Situé en bas de la Vessie , le Sphincter urinaire qui s'ouvre et se ferme à la manière d'un clapet pour laisser l'Urine se diriger vers la sortie ou , à l'inverse, l'empêcher de s'écouler, est un muscle très efficace. Mais la carence en oestrogène à la ménopause et le vieillissement le mettent à mal.

    La Vessie doit alors se vider plus souvent et sans attendre alors qu'elle n'est pas pleine. Avec l'âge, le Sphincter perd aussi de sa force et résiste moins à la pression de la vessie.

    Relâchement du Périnée.


    Le Périnée, sorte de hamac de muscles qui soutient les organes du petit bassin, tend à se relâcher au fil des ans. Avec les grossesses, les accouchements, la ménopause mais aussi sous les pressions exercées par le surpoids, la pratique intensive de certains sports à risque

    ( course à pied, trampoline, basketball...) d’où des fuites incontrôlables lors d'un effort ponctuel ou d'une pression même minime:rire, éternuement, toux...)
    Heureusement il y a des solutions, différentes suivant l'âge, le type d'incontinence urinaire et son importance.

    Voir avec vôtre médecin.

    Les hommes aussi en souffre.
    Les fuites et les infections urinaires sont bien moins fréquentes chez les hommes mais tout aussi pénibles. Une incontinence urinaire peut être due à une opération ou à un traitement de la prostate ( radiothérapie) mais, dans la majorité des cas, l'augmentation de volume de la prostate liée au vieillissement ( adénome de la prostate) est en cause.

    En compriment la vessie, elle gêne l'évacuation de l'urine, laquelle provoque des envies fréquentes d'uriner par petits jets...souvent suivis de gouttes retardataires. Ou bien l'urine s'accumule dans la vessie et se met à fuir au goutte-à-goutte.

    Attention, la vidange incomplète de la vessie due à une grosse prostate peut provoquer une infection urinaire. Brûlures, envies impérieuses, tension dans le bas ventre...il faut consulter. Un ECBU ( examen cytobactériologique des urines) est nécessaire pour identifier les germes.

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  • Le sujet n'est plus tabou et pourtant les femmes connaissent mal leurs organes génitaux externes. Autrement dit la Vulve qui est composée des grandes lèvres qui protègent le Vagin contre les microbes et contribuent à maintenir son humidité.

    Des petites lèvres qui enserrent le Clitoris, du méat urinaire par ou s'écoule l'urine et de l'entrée du Vagin...un petit Couloir d'environ 8 cm de long environ reliant le Vagin à l'Utérus. Pourtant le Vagin est le lieu de toutes sortes de perturbations qui gênent les femmes au cours de leur vie. Irritations, pertes anormales, mycoses, fuites urinaires...

    Sécheresse vaginale à la Ménopause.

    De toutes ces joyeusetés, la sécheresse vaginale est le désagrément le plus fréquent et le plus durable parce que toutes les femmes sont un jour ou l'autre ménopausées. En effet, à la ménopause, la chute puis l'arrêt des sécrétions hormonales ( œstrogènes) n'est pas seulement à l'origine de bouffées de chaleur, de fatigue et de changements d'humeur, mais aussi de perturbations locales, notamment le desséchement des muqueuses du vagin et une atrophie urogénitale.

    D’où un inconfort, des sensations de brûlures et d'irritations et des douleurs lors des rapports sexuels. Les répercutions de cette sécheresse vaginale peuvent aussi être urinaires: infections ou incontinence.


    Hydrater et Lubrifier.
    C'est en effet grâce aux sécrétions hormonales que le vagin reste humide et que ses parois gardent la souplesse et l'élasticité lui permettant de s'élargir et de s'allonger lors des rapports sexuels ou de se dilater au moment d'un accouchement.

    Mais si la ménopause est le plus souvent  en cause, la baisse du taux d'oestrogènes et une certaine sécheresse vaginale se manifestent aussi après un accouchement et lors de l'allaitement, de manière transitoire toutefois.
    D'autres facteurs, sans rapport avec les sécrétions hormonales ,peuvent également entraîner des troubles de l'hydratation vaginale: soins intimes trop agressifs, flore vaginale déséquilibrée, port de vêtements trop serrés qui provoquent des frottements prolongés de la vulve, prise continue de certains médicaments,etc.


    Les solutions anti_sécheresse.
     Ovules et gels vaginaux  monodoses à base d'actifs naturels ou bien d’œstrogènes; compléments alimentaires phyto...Demandez à vôtre Pharmacien...

    Ou à vôtre Médecin.
     
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  • La sclérose Latéral amyotrophique est une maladie neurodégénérative, handicapante, qui évolue progressivement. Stephen Hawking, astrophysicien Britanique, fut l'un des plus célèbres malades atteint de SLA.
    En France, on dénombre 1,5 cas pour 100000 habitants, soit près de 1000 par an. La maladie affecte plus d'hommes que de femmes. L'âge moyen de début se situe entre 50 et 70 ans, mais il peut être plus jeune.
    La cause de la maladie reste encore inconnue. Elle est probablement multifactorielle, faisant intervenir des éléments environnementaux ( alimentaires) et génétiques. Dans 5 à 10 % des cas, la SLA est familiale.
    Les symptômes de la SLA découlent de la dégénérescence des neurones moteurs qui commandent les muscles volontaires ( par opposition aux muscles qui ne peuvent être contrôlés par la volonté, comme le muscle cardiaque).

    La forme spinale ( deux tiers des cas), liée à l'atteinte initiale des motoneurones de la moelle épinière, entraîne des troubles de la motricité des membres supérieurs ( manque de coordination, de précision des mains) ou inférieurs ( gêne à la marche, troubles de l'équilibre, chutes...) La fonte musculaire ( amyotrophie) survient plus ou moins rapidement.


    La forme bulbaire, liée à l'atteinte initiale des motoneurones situés dans le bulbe rachidien, provoque des troubles de la parole ( problème d'articulation, voix rauque, faible ou nasillarde) et de la déglutition ( difficultés à mâcher, fausses routes). Elle est plus fréquente chez la femme.
    Ces deux formes peuvent se succéder ou se développer simultanément.
     
    Les fonctions intellectuelles et sensorielles ne sont pas touchées: la personne reste lucide tout au long de la maladie. D'autres symptômes sont fréquents: fatigue, constipation, amaigrissement, œdème, troubles du sommeil...L'évolution est très variable d'un malade à l'autre, sur des années.
    Dans tous les cas, les muscles de la respiration finissent par être touchés, engendrant une insuffisance respiratoire qui peut entraîner le décès.

    Il n'existe pas de traitement curatif. Un médicament ( Riluzole) permet de retarder l'évolution. D'autres médicaments sont indiqués pour soulager les autres symptômes tels que les crampes, les secousses ou contractions involontaires des muscles, la dépression... La rééducation kinésithérapie et orthophonique aide les malades à conserver leur autonomie le plus longtemps possible.
     
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